Le microblogging, est une forme plus simple et plus rapide que le blogging – au sens classique -pour poster son contenu sur le web. Ce phénomène est aujourd’hui très répandu avec twitter en position de leader mais aussi avec d’autres services comme tumblr, pownce, jaiku, etc. On retrouve également le microblogging comme service incontournable sur plusieurs autres types de réseaux (voire la totalité : comme facebook, msn, myspace, linkedin, …) sous d’autres appellations comme « statut » ou « signal ».
Ce nouveau média social n’est pas sans effets sur les usages « établis » du 2.0 sur le net. Que faire quand on a un blog et on se met sur Twitter ? Où doit aller l’information ? Quelle est mon audience ? Twitter tue t-il le blog ?
Les entreprises, elles aussi, adhèrent à twitter et aux services similaires pour sonder leur e-réputation, améliorer leurs images de marque, multiplier les canaux du business ou aussi pour équiper leurs salariés en interne afin de développer davantage le partage et la circulation de l’information. Qu’en est-il pour leurs blogs de communication, blogs d’experts, ou blogs de management ? Quel effet tout cela a-t-il sur les usages professionnels des médias sociaux ?
Ces questions ont été adressées selon différents angles par certains – avec des avis multiples – Je propose ici une synthèse et des compléments de réflexion.
Cet ouvrage entièrement dédié aux sujets de l’entreprise 2.0 s’adresse à tout acteur de l’entreprise. Il intéresse en particulier ceux qui souhaitent mettre en œuvre de nouveaux modes de collaboration au sein de leurs organisations (2.0). Quelque soit sa fonction et son rôle, chaque collaborateur peut y trouver des informations pratiques et utiles sur les outils, les applications et les usages du 2.0 dans le cadre professionnel.
Ce livre présente ainsi une vision opérationnelle et réaliste de la mise en œuvre du web 2.0 en entreprise, notamment dans les domaines de la gestion des connaissances, de la veille et de la relation client. S’adressant aux étudiants comme aux professionnels susceptibles d’être impliqués dans la mise en place d’un tel dispositif, il propose des recommandations opérationnelles pour faire évoluer les entreprises grâce aux nouveaux modes de travail collaboratif et aux technologies associées.
Gartner vient de publier son dernier comparatif des solutions de l’entreprise 2.0 ( Magic Quadrant for Social Software 2009). Ce nouveau classement présente en effet quelques faits marquants qui montrent que le spectre est loin d’être établi et que l’offre dans ce domaine est toujours en phase de maturation.
Depuis les premières publications du quadrant magique sur le 2.0 par Gartner (sous différentes appellations : social computing, team collaboration, social software,…) l’offre s’est essentiellement concentrée dans la catégorie des « niches players » *.. ce qui est logique, pour un domaine émergent.
En effet, durant ces dernières années, très peu d’éditeurs ont pu se positionner en tant que « Challengers »* ou « Visionnaires »*. En revanche, aucun éditeur n’a pu jusque là se démarquer comme un leader dans l’offre 2.0… Mais, cette année les choses sont différentes…
Vivek Kundra, CIO du gouvernement des États Unis, vient d’annoncer son tout dernier programme de réduction des coûts de l’IT du gouvernement, baptisé Apps.gov. Ce programme constitue en effet les premiers pas du gouvernement vers le « cloud computing » définit par Vivek Kundra comme :
the next generation of IT in which data and applications will be housed centrally and accessible anywhere and anytime by a various devices (this is opposed to the current model where applications and most data is housed on individual devices)
Apps.gov est aujourd’hui un ensemble de services IT en ligne, centralisés, proposés aux agences fédérales afin d’optimiser leur productivité, efficacité et collaboration. Le dashboard propose également des infras en ligne, sur mesure, pour répondre aux besoins spécifiques d’hébergements techniques pour les agences. Les 4 services sont alors proposés grâce à une interface très simple …
Paris 2.0 s’est déroulé de mardi à vendredi (25/09). 4 jours visiblement intenses de débats et d’échanges sur plusieurs thématiques du 2.0 et de son impact sur l’écosystème de l’entreprise (et au delà).
J’ai assisté jeudi après midi aux différentes tables rondes autour des réseaux sociaux et les marques et plus particulièrement concernant trois problématiques :
les marques et les nouveaux espaces communautaires sur le net,
l’engagement planning : ou comment les marques affichent leur « engagement » vis à vis de leurs communautés, en particulier celles qui sont en ligne (communautés de marques),
la marque avec une « conscience sociale ».
C’était riche et surprenant; Je ne m’attendais pas à de tels élargissements des débats sur les réseaux sociaux pour couvrir autant de facettes culturelles, organisationnelles, business, commerciales, (peu techniques), humaines de la chose.
Les retours d’expériences et les témoignages ne se sont pas limités à l’aspect technique ou outil du Web 2.0, bien au contraire on a rarement parlé du Web 2.0 et beaucoup insisté sur le fond de la question qu’est : la communauté, le réseau d’individus et la position des marques vis à vis à ceux ci, leurs inquiétudes, attentes et aspirations.
Twitter est sans doute LE média social que j’ai trouvé (je pensais) inutile pendant assez longtemps. J’ai mis du temps à en comprendre l’usage et à s’en servir. J’y travaille en ce moment : http://twitter.com/alifigo (mea culpa ? )
Peut être que je n’avais pas compris grande chose à ce truc ! Tous ce que j’ai compris c’est :
un service en ligne
qui me permet de créer un compte très facilement
qui me donne la possibilité de poster des messages courts (140 caractères max),
Mais à qui sont envoyés ces messages ? Pourquoi ? Comment cela se positionne par rapport au blog ? Comment cela se positionne par rapport à l’email ainsi que les autres services sur internet ?
Encore plus difficiles sont les questions sur les usages professionnels et la valeur business de cet outil ! Déjà, n’étant pas très convaincu de son utilité pour des usages grand public, je ne voyais pas du tout son usage en entreprise.
J’avoue que j’avais du mal à cerner son utilité et c’est frustrant ! D’autant plus que le nombre des utilisateurs ne cesse d’augmenter considérablement d’une semaine à une autre… Ce n’est pas qu’un effet de mode !
Pourquoi alors utiliser Twitter? Est-ce uniquement pour suivre des gens et savoir ce qu’ils font, ce qu’ils pensent au quotidien ??!! ou aussi pour être suivi ? Bref, je caricaturiste peut être… mais ces questions restaient sans réponse satisfaisante. Le truc est tellement basique et à « priori » sans intérêt que je l’ai abandonné dès mes premiers test.
Le cas de Twitter dit tout du phénomène des « usages » qui émergent, se façonnent et se consolident progressivement.
Forrester vient de publier sa toute dernière analyse du paysage des plateformes collaboratives 2.0. L’étude analyse en détails une dizaine de produits selon 60 critères regroupés en trois grandes familles : l’offre produit (les fonctionnalités, l’architecture, la sécurité, etc), la présence sur le marché et la stratégie de l’éditeur.
Sans surprise, on retrouve les grands comme Microsoft, IBM Lotus, OpenText, Novell et Cisco mais aussi des petits éditeurs qui se distinguent par leurs suites 2.0 assez complètes et fortement présentes sur le marché tels que Atlassian pour son produit phare Confluence, SocialText et Jive Software. Aucun éditeur Français (tel que Xwiki et Bluekiwi Software) ne figure dans cette analyse (visiblement assez sélective ?!).
Sur quels critères se base Forrester ? et quelle est la vision du Forrester Wave à propos des plateformes collaboratives 2.0 en 2009 ?
McKinsey vient de publier les résultats de son enquête sur les usages et les tendances du web 2.0 en entreprise. Cette étude consolide les réponses de plus de 1700 managers de divers secteurs d’activités et de différents métiers.
Sans grande surprise, le mouvement d’adoption du web 2.0 au sein des organisations continue et s’accélère. La (vraie) bonne nouvelle cette fois-ci est que ces organisations confirment avoir tiré des profits business mesurables de leurs usages 2.0, et ce de différentes manières :
Innovation dans les services et les produits,
Marketing plus efficace,
Amélioration de la gestion des connaissances,
Réduction des coûts de fonctionnement,
voire, augmentation du chiffre d’affaire et des bénéfices !
Les réponses montrent que le Knowledge et le Marketing sont les premiers gisements de bénéfices…
Cela fait quelques semaines que Google a annoncé son nouvel outil communiquant baptisé « Google Wave ». A peine dévoilé, ce produit a visiblement séduit et impressionné. Depuis, plusieurs analyses positionnent cet outil comme potentiellement révolutionnaire dans le monde du logiciel collaboratif et du web 2.0.
J’ai découvert récemment (certainement avec un peu de retard) la présentation de produit et je ne peux que confirmer qu’il s’agit bel et bien d’un système qui sort de l’ordinaire sur différents niveaux : conceptuel, fonctionnel et technique.